Des membres de l'UDC, du PLR et du PVL ont dénoncé face à la presse des expérimentations «dangereuses», avec des effets secondaires pour les patients et la classe moyenne.
L'initiative du Centre vise à maîtriser la croissance des coûts de la santé via un mécanisme de frein aux coûts. «Ce sont les bureaucrates qui décideront des traitements. Ceux qui ne peuvent se permettre de souscrire une assurance complémentaire privée devront attendre en cas de maladie», assure le camp bourgeois.
L'initiative du PS sur les primes demande elle que les primes maladie ne dépassent pas 10% du revenu. La droite dénonce un projet purement redistributif qui coûtera 12 milliards de francs par an dès 2030. La classe moyenne et les PME passeront à la caisse, avec une hausse d'impôts inévitable. (awp/hzi/ps)