Une telle stratégie est nécessaire au vu des capacités du pays aujourd'hui trop maigres, a déclaré jeudi la rapporteure Franziska Roth (PS/SO). Actuellement, les hôpitaux de tout le pays peuvent prendre en charge environ 50 patients polytraumatisés à la fois, a-t-elle déploré. Les capacités sont aussi réduites du côté de l'armée pour la prise en charge d'urgence.

Une aide internationale est envisageable en cas de catastrophe, mais c'est une autre histoire en cas de guerre. Le Conseil fédéral et les cantons doivent s'asseoir autour d'une table pour clarifier les responsabilités, les adaptations légales nécessaires et les coûts d'une prise en charge adéquate en cas de crise.

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Un rapport réunissant toutes ces questions va être adopté l'automne prochain, a assuré la ministre de la défense Viola Amherd, appelant à ne pas faire du travail à double. Sans succès. Le dossier part au National. (awp/hzi/ps)